Adrien a répondu à cette interview. Voici ses réponses :
C´est qu´on peux se la péter sur scène sans avoir à apprendre de texte ! Plus sérieusement ça permet de gouter aux joies de la scène plus souvent qu´avec une pièce de théatre amateur et le taux d´autosatisfaction y est plus grand aussi (si le spectacle est bien c´est pas grace à un autre).
Je suis le seul de mon equipe sur scene donc je ne peux pas fuir alors que je n´ai pas d´idée, je dois donc faire de la figuration. Ai-je précisé qu´il s´agissait d´une exercice de style ?
"Nippon ni mauvais" capable du meilleur comme du pire (plutot le 2d) je reste imprevisible.
C´était la première année de l´impropub. Le grand H nous a présenté son idée à la réunion Arts Mêlés. N´écoutant que ses paroles et ma confiance absolue en mon manque d´imagination j´ai fuis. C´est là qu´elle apparue. Je la voyais regulierement dans un autre atelier Arts-Mélés et j´appris qu´elle participait à l´impropub. Prenant mon courage à deux mains et mon ticket de TAG dans l´autre je me resolu a combattre ma peur du ridicule et de tenter l´aventure (ce qu´on peux faire pour elles je vous jure). Et là Horreur et Damnation, Déséspoir et Trahison ! La belle était déjà partie. J´y ai trouvé a la place une bande de joyeux lurons et une dose d´auto-satisfaction. Comme quoi en Impro comme en amour on ne perd rien a tenter.
Les cerebraux français ont leurs Cesars, les industriels ricains ont leurs Oscars, les melomanes ont leurs Gronibards, nous notre marque c´est "meudor la vanne qui rend fort".